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Comment démolir une cloison en placo : guide complice et sans stress !

Rose


Comment démolir une cloison en placo : guide complice et sans stress !


Envie d’ouvrir l’espace ? De faire tomber cette fichue cloison ? On sort les outils et on s’y met ! Mais avant de taper comme un forcené… quelques précautions s’imposent !


Le placo : une coquille pas si vide...

Derrière ce mur qui vous semble fragile, il peut y avoir du câblage, des tuyaux, des surprises… Bref, pas question d’y aller à l’aveugle. Un coup de marteau mal placé, et c’est le grand plongeon dans le chaos !

Vérifier ce qui se cache dedans

Avant de foncer tête baissée :

  • Regardez les plans de la maison (si vous les avez !)

  • Tapez doucement pour écouter le son : creux ou plein ?

  • Vérifiez les prises électriques… Des fils pourraient se cacher derrière !

  • Un petit détecteur de métaux peut sauver votre journée !

Si vous avez un doute… on attend ! Un pro pourra confirmer que vous ne cassez pas un mur porteur ou vital.


S’équiper : pas de combat sans armes !

Démolir, c’est bien. Éviter de finir à l’hosto, c’est mieux ! Alors, équipez-vous comme un pro :

  • Lunettes de protection : adieu poussière dans les yeux !

  • Masque : parce que respirer du plâtre, ce n’est pas un plaisir...

  • Gants épais : pour éviter les éclats vicieux.

  • Pieds couverts : oubliez les tongs… Un bout de placo, ça coupe !


Le premier coup : un moment jouissif !

Ça y est, vous êtes prêt ? Alors, place au premier coup ! Mais pas n’importe où…

Commencer proprement

  • Avec une scie sauteuse ou une scie égoïne, découpez une ouverture au centre.

  • Un bon coup de masse peut aussi faire l’affaire… mais doucement !

  • Passez la main derrière pour vérifier : des fils ? Un obstacle ?

Si tout est clair… Feu ! Démolir un mur, c’est un peu comme ouvrir un cadeau géant !


La technique du "pas-à-pas" : on évite le chaos

Tout envoyer valser en 2 minutes, c’est tentant… Mauvaise idée ! Voici la marche à suivre :

  1. Découpe en morceaux : mieux vaut des petits bouts que des grands drames !

  2. Démontez les montants en métal : ils tiennent tout l’ensemble, enlevez-les prudemment.

  3. Ramassez au fur et à mesure : sinon, bonjour la galère pour sortir les gravats !

Petit conseil : un gros sac à gravats ou un seau solide, c’est votre meilleur allié.


Après la bataille : place au nettoyage !

Un mur en moins, c’est top… Mais la poussière, elle, est partout ! Quelques astuces :

  • Aspirateur direct ! Passez-le avant même de tout ramasser, ça évite que la poussière s’infiltre partout.

  • Chiffon humide sur les surfaces : sinon, vous aurez du plâtre pendant une semaine...

  • Aérez à fond : un bon courant d’air, et tout s’allège !

Et voilà ! Cloison envolée, espace retrouvé… Mission accomplie !


De quoi sont généralement constituées les cloisons ?

Les cloisons... On les voit tous les jours, mais qui sait vraiment ce qui se cache dedans ? Certaines sont légères comme une plume, d’autres plus costaudes que prévu ! Et avant de percer, démolir ou même poser une étagère, mieux vaut savoir à qui on a affaire. Alors, on fait le tour des matériaux les plus courants !


Le placo : le roi des intérieurs !

Impossible de parler de cloison sans évoquer le fameux placo. C’est lui qui structure la plupart des intérieurs modernes. Mais de quoi est-il fait ?

  • Une âme en plâtre : légère, mais solide !

  • Deux couches de carton bien collées qui protègent et rigidifient l’ensemble.

  • Des versions spéciales existent : hydrofuge pour les pièces humides, phonique pour limiter le bruit, et même ignifugée pour résister au feu !

Facile à poser, simple à découper... Bref, le placo est un incontournable ! Mais il n’est pas seul sur le marché.


La brique : le charme de l’ancien

Si vous habitez un immeuble un peu daté ou une maison en pierre, vos cloisons sont peut-être en brique. Ça change tout !

  • Brique plâtrière : une variante légère, parfaite pour l’intérieur.

  • Brique pleine : du costaud ! Plus lourde, mais avec une excellente isolation.

  • Brique alvéolaire : un bon compromis, plus légère mais toujours solide.

Son avantage ? Une bonne résistance au bruit et à l’humidité. Son inconvénient ? Pas question d’y enfoncer une cheville au hasard !


Le béton cellulaire : léger mais costaud !

On l’adore pour les cloisons porteuses ou les séparations solides. Son secret ?

  • Un mélange de ciment, chaux, sable et aluminium.

  • Des bulles d’air pour la légèreté et l’isolation.

  • Une coupe facile (scie égoïne), mais une pose qui demande un peu de patience !


Le bois : chaleureux et plein de possibilités

Eh oui, on peut aussi faire des cloisons en bois ! Souvent utilisées dans les maisons anciennes ou les lofts, elles apportent un côté naturel et chaleureux.

  • Ossature bois + panneaux (OSB, MDF, contreplaqué) : léger et rapide à monter.

  • Planches pleines pour une cloison plus robuste.

  • Lames de bois ajourées pour une séparation sans tout fermer.

Le bois a un charme fou... Mais attention aux risques d’humidité !


Le verre : quand la lumière s’invite

Les cloisons vitrées, c’est la grande tendance ! Idéal pour séparer sans enfermer, en laissant passer la lumière.

  • Verre trempé : super résistant aux chocs.

  • Verre feuilleté : avec une couche intermédiaire pour plus de sécurité.

  • Briques de verre : rétro et toujours efficace !

Effet atelier d’artiste garanti ! Mais attention... Qui dit verre dit entretien régulier !


Les cloisons amovibles : flexibilité totale

Besoin de moduler l’espace ? Les cloisons amovibles sont faites pour ça !

  • Panneaux coulissants : parfaits pour séparer une pièce sans gros travaux.

  • Cloisons en accordéon : pratiques mais un peu bruyantes.

  • Cloisons en toile ou en bambou : légères, idéales pour un coin bureau improvisé !


Le machefer : l’inattendu du passé

Si vous rénovez une vieille maison ou un immeuble ancien, vous pourriez tomber sur un mur en machefer. Mais c’est quoi exactement ?

  • Un mélange de scories de charbon, de chaux et de ciment.

  • Un matériau utilisé autrefois pour sa légèreté et son isolation.

  • Une résistance surprenante, mais… il peut être cassant et friable !

Le problème avec le machefer ? Il fait énormément de poussière quand on le casse ! Protégez-vous bien et évacuez rapidement les gravats, car ce matériau peut contenir des résidus indésirables. Un bon masque et un aspirateur à filtre spécial, c’est la base !

Si vous hésitez sur la nature de votre cloison, un petit test s’impose avant d’attaquer… et si c’est du machefer, allez-y en douceur !


Le verdict ? Tout dépend de votre besoin !

Chaque cloison a son caractère... Placo pour la simplicité, brique pour la solidité, bois pour le charme, verre pour la lumière... Il suffit de choisir ! Et maintenant, plus d’excuse pour percer sans réfléchir !



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